L'entrée, sobre et dénudée est personnalisée par son original éclairage au sol. La cuisine, toute en bois précieux, est alors la première pièce d'exception que l'on repère.

La sculpture de Pablo Reinoso, est exposée et mise en valeur grâce au rétro-éclairage. Un tableau peint par Ana Pérez Ventura, trouve sa place sur un grand mur blanc, comme au musée. Dans cet univers moderne, le canapé et le tapis en laine vierge, le bureau en bois noble apportent chaleur et convivialité.

La salle de musique fut un défi pour l'architecte. Il fallait que les sons du piano ou des guitares ne soient pas étouffés, sans incommoder les occupants de l'appartement, comme les voisins du haut ou du bas. Les solutions acoustiques employées sont celles d'une salle de concert classique.

La salle à manger est une pièce très technique où la tradition se mêle au confort de la modernité. Le parquet, neuf, en Points de Hongrie, est posé sur une chape acoustique, les fenêtre, neuves aussi et intégralement réalisées comme sur le plan de 1860, bénéficient cependant d'une isolation acoustique et thermique remarquable. La pièce est climatisée, sans qu'aucune machine ou câble n'apparaissent.